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One life, one ride!

Comment j’imagine le bonheur?

Quoi que la vie peut vous sembler éternelle et sublime, elle n’est en réalité que fugace et ignoble. Peu importe combien de temps la nuit peut durer, l’aube succombera et peu importe combien de temps nous respirerions, nous nous retrouverions nécessairement dans un tombeau.En effet, il nous semble que rien ne peut perdurer, ni le bonheur ni la tristesse. Mais au fond, il s’agit de la déduction d’un mariage de composantes. Vous n’êtes que la représentation de la composante la plus dominante.

Alddunya الدنيا, littéralement signifie quelque chose d’inférieur. Elle ne fait pas partie de l’au-delà. Elle n’est pas synonyme de la vie. En fait, elle équivaut à la vie et à la mort. Vous n’êtes encore une fois que la représentation de la composante la plus dominante. N’est-il pas l’enseignement des religions ? L’oxymore de vivre en pensant à la mort ?On ne peut pas tout comprendre. Jugez avec tolérance et sans extrémisme car la vie n’est pas idéale.Ne soyez pas très regardant dans la vie. Si vous n’êtes pas triste, vous êtes incontestablement heureux.Ne vous attendez à rien de personne car tout le monde à ces propres attentes et nul ne peut se charger des vôtres.Soyez ce que vous êtes, aimez ce que vous aimez, haïssez ce que vous haïssez. Il est inutile de compliquer davantage ce qui est déjà assez compliqué.

 

Et oui, toute cette vie n’est qu’un souvenir,  une réminiscence que le passé enterre, que la conservation s’en commémore et que la nostalgie implore. J’aurai tant voulu que je délaisse mes chroniques et que j’omette le bon vieux temps. Cependant, ce que la nostalgie implore est le regret des moments inouïs.

A priori, je haie l’absence et la contrition, je haie le divertissement et le plaisir tant que leur éloignement et leur éphémérité sont la fontaine de mon regret nostalgique.Oh quel identique dommage aussi bien pour les humains que pour les papillons !Sachez qu’au cas où j’oublierai tout, mon Miracle, je ne l’oublierai jamais. J y resterai reconnaissant car il fût la gratification du créateur…

Un sacrifice inimaginable et des privations indescriptibles… Comment pourrons-nous un jour leur remercier ? Plus j’estime que le confort qu’offre la vie ne pourrait subvenir à témoigner de leur reconnaissance, plus ma question ordinaire n’aboutit point à une réponse convenable.Ils ont mis au monde un corps qui les unit et mélange entre les races, un corps que Dieu y a planté une âme et devint donc un être vivant, plutôt indépendant et libre.

De par les malentendus et les désaccords souvent récurrents au sein de notre petite famille, de par mes positions et mes jugements, parfois éraflants et inconsidérés soit-ils. Il m’est -des fois- passible d’une amende morale !Peut être qu’il y’avait des choses que je voulais changer, sauf que personne n’ait le choix. La morale est d’accepter le sort tel qu’il est. Comme si le ton de mon écrit devint pathétique ! Or, ce n’est pas le cas, surtout plus maintenant. Le test du sort est très positif et jamais je n’oublierai, plus jamais les belles années et plus jamais je penserai « pessimiste ».Grâce à la pupille de l’œil, la lumière pénètre. Les enfants sont les pupilles des yeux de leurs parents et la lumière est un bonheur.

Il n’est plus question de “paraître” mais plutôt de vraiment “l’être”. Si nous voulons vraiment être heureux, la quête de l’argent et de la réussite sociale ne doivent plus être notre raison d’être.Il ne s’agit plus de réussir dans la vie mais plutôt de réussir dans sa vie. Bien qu’il ne s’agit plus de vivre pour l’argent mais d’avoir plutôt de l’argent pour vivre.Les objectifs primitifs sont infinis et  incalculables.

Communément, on nous a enseigné que les objectifs doivent être « SMART », mais en effet, notre avidité est si féroce que nous avons tout désappris.Une vision floue ne nous mènera nulle part. Le bonheur demeure une balance entre l’avidité et le contentement.

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